Monsieur, Le Président
Je suis Giorgia Butera, sociologue de la communication, écrivaine. militante de droit de l’homme, formatrice, je vais être nommé juge auxiliaire pour mineurs et pour la lutte contre la traite humaine.
Je parle au nom de “African Development Association” et en tant que présidente de l’Association italienne “Mete Onlus” qui mène une campagne internationale : “Je suis une petite fille, pas une mariée “. La défense et protection des droits de l’homme et de la dignité humaine sont au centre de notre idéologie.
Notre message est simple et constructive. «Stop mariages précoces et forcés ». Le choix de se marier ou de vivre un rapport affective-sexuelle doit appartenir à la libre volonté “.
Nous ne pouvons accepter que, même aujourd’hui, il y ait des millions d’enfants et d’adolescents victimes de mariages précoces; forcés et aux avortements sélectifs. Cela implique a tort le développement physique, psychologique et émotionnel de l’individu.
Un outil d’aide est bien evidemment le recensement, comme prévention et surveillance.
Malheuresement dans plusieurs cas nous avons pas encore le recensement et nous ne pouvons intervenir. Comme le sort des femmes et des filles dans les camps de Tindouf, qui ne sont pas protégés contre les mariages précoces et forcés et ou elles sont exposées à toutes sortes d’abus et ou on ne peut intervenir ni effectuer une certaine evaluation en raison d un grand manque de données.
Pour les filles au Burkina Faso et Côte-d’Ivoire je travaille avec l’association Maman Africa.
Par le biais de notre réseau d’associations Hryo (Human Rights Youth Organisation), Antigone Sicilia, Protea, Antillia, Hands off Women, Wishwall Foundation, UN.I.S., nous souhaitons contribuer à l’alphabétisation social et defendre le droit à l’éducation dans les regions vulnerables. Une fille instruite sera une femme libre et éclairée dans le temps.
Nous souhaitons de voir réaliser d’importants engagements internationaux pour transmettre l’éducation a l’affectivité comme un outil pour la protection des droits de l’homme. En intervenant aux débarquements des immigrants sur la côte sicilienne, nous rencontrons des femmes qui ont été obligées de fuir pour échapper des mariages précoces et forcés.
Monsieur le Président, nous voulons plus avoir des cas de femmes qui souffre en silence de mariages précoces et forcés dans tous les lieux du monde.
Merci, Monsieur Le President